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Actualités CULTURE et TERRITOIRES

    Agence d'ingénierie culturelle

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    Actualités

    - Publication du Guide Culture et développement rural
    - Un service à distance renforcé depuis la crise Covid
    - Un peu de contenu en attendant que les formations puissent reprendre

    GUIDE CULTURE ET DÉVELOPPEMENT RURAL

    Nous avons eu le plaisir en 2021, pour le compte du Réseau national rural (RRN) en partenariat avec l’ANCT et le ministère de la Culture, de réaliser une étude nationale ayant conduit à la rédaction du guide « Culture et développement rural ». Celui-ci propose des repères méthodologiques aux élus et porteurs de projets culturels et touristiques en milieu rural. Fruit d’une étude exploratoire menée auprès de 30 projets, il livre une réflexion approfondie sur le rapport entre dynamique culturelle et développement territorial. Il est téléchargeable sur notre page « ressources » ou à l’adresse suivante :

    https://www.reseaurural.fr/centre-de-ressources/actualites/culture-developpement-rural-guide

    Trouver de l’aide à distance

    Vu la situation sanitaire en ce début 2022, nous prolongeons encore un peu notre proposition de travailler à distance sans attendre que l’on puisse bientôt et sans risque organiser réunions, entretiens en tête à tête et session de formation. En ces temps de début de mandats municipaux et de fragilisation du secteur culturel (nécessitant de trouver des solutions appropriées), nous nous tenons à votre service. L’outil visioconférence permet de rester réactif et d’être en contact étroit au fil des nécessités.

    De plus, ne pouvant prévoir les prochaines sessions de formation, nous vous proposons ci-après un peu de contenu sur des sujets que nous abordons habituellement en formation.

    UN PEU DE CONTENU

    Dans la suite de cette page, vous trouverez quelques premières approches selon des thèmes que nous proposons d’aborder lors de formations-actions. Ce ne sont pas des fiches pratiques, mais une première matière à réflexion.

    COMMENT PENSER LES BIBLIOTHÈQUES eT LEURS RÉSEAUX ?

    La lecture publique désigne un domaine accepté depuis longtemps comme un « service public » visant l’accessibilité aux ressources documentaires, la sensibilisation au livre et à la lecture ou encore la lutte contre l’illettrisme.

    Sans être les seuls acteurs dans ce domaine, les bibliothèques restent au cœur du dispositif et sont vues comme les outils majeurs d’une politique culturelle. Or, il faut considérer que ces instruments, qu’ils soient associatifs ou publics, furent confrontés ces trois dernières décennies, à une série de changements (voire de bouleversements) qui les a poussés et les pousse toujours à s’adapter aux mutations technologiques, aux évolutions sociétales, aux transformations des modes de consommation culturelle et même aux vicissitudes des modes de vie.

    C’est ainsi qu’à une époque où l’on constate partout une baisse généralisée des inscriptions et des lecteurs empruntant des ouvrages, on constate en même temps une hausse des flux (passage en bibliothèque sans emprunt), en tout cas pour ce concerne les structures ayant pu se remettre en question face aux besoins spécifiques des habitants qu’elles desservent.

    C’est ainsi que les bibliothèques restent en France les premiers lieux culturels de proximité, devenant aussi, dans beaucoup de territoires, des lieux de rencontres sociales, de sensibilisation aux pratiques culturelles, des relais d’informations culturelles, des lieux de services (pour demandeurs d’emplois, écoliers, lycéens, autoentrepreneurs, etc.), voire des instruments de lutte contre l’isolement et les discriminations ; et cela dans un contexte de reconnaissance des « droits culturels » dans deux lois de la République.

    Face à un contexte extrêmement évolutif, ces établissements sont conduits à jouer des rôles allant bien au-delà du simple accès aux ressources documentaires ; des rôles à l’égard desquels les élus locaux peuvent tout-à-fait se prononcer en fonction des situations locales, qu’elles soient éducatives, sociales, culturelles, voire économiques.

    Il convient cependant d’observer qu’aux côtés de bibliothèque d’un nouveau type, se maintiennent des bibliothèques toujours imprégnées des principes des années 1980, souvent tenues par des passionnés de lecture prêts à partager leur passion mais qui, sans aide extérieure, ont du mal parfois à appréhender les profondes mutations des pratiques culturelles, des services à rendre en milieu rural suite à la dislocation des services publics et face aux changements de notre rapport à l’information et aux moyens de communication.

    Et c’est ainsi que, dans les territoires, lorsqu’il s’agit de penser « réseaux », on est conduit à organiser des objets de nature souvent très différente.

    Quoi qu’il en soit, pour fonder une nouvelle bibliothèque ou pour organiser un réseau de lecture publique, il sera une nécessité d’observer au moins deux règles : tenir compte des évolutions profondes des pratiques culturelles et du contexte local, et cela pour donner à la bibliothèque, dès ses origines, une capacité d’adaptation à son contexte local.

    Dans cet esprit, nos formations proposent de vous apporter des clés pour identifier les besoins auxquels votre future bibliothèque ou réseau devra répondre pour produire toute son efficacité.

    Car avant de penser sous l’angle du standard « bibliothèque », il conviendrait désormais d’analyser précisément l’environnement local et les services qui y sont présents ou non. Pour illustrer cela, nos formations en la matière s’appuie sur plusieurs exemples de bibliothèques ayant obtenus des résultats remarquables et se situant pour beaucoup en milieu rural et périurbain.

    COMMENT ÉVALUER LES POLITIQUES CULTURELLES ?

    Définition

    L’évaluation est une démarche dont le but est d’estimer la valeur d’une action sur le plan qualitatif et quantitatif au regard des objectifs qui lui ont été assignés. A la différence du contrôle qui est une notion de surveillance, l’évaluation repose sur la mise en place d’un dispositif complexe associant tous les acteurs concernés par l’action ou la structure à évaluer, en vue d’une amélioration.

    Différentes méthodes sont généralement utilisées en fonction de l’objet à évaluer et du type de résultats attendus.

    Quelle que soit la méthode mise en œuvre, l’évaluation permettra de mesurer les effets directs et indirects d’une action (pertinence, cohérence, efficience, efficacité) et in fine d’en apprécier le bien-fondé (son « utilité sociale »). Le dispositif établi reposera sur la création d’outils de mesure et sur des indicateurs. Ceux-là seront utilisés en regard d’objectifs fixés au préalable.

     

    Notre approche de l’évaluation des politiques culturelles

    Répondant rarement à des besoins sociaux directement exprimés par les citoyens, les politiques culturelles – au-delà des rares compétences obligatoires des collectivités – résultent avant tout d’une démarche volontariste des élus.

    Parce que les valeurs auxquelles elles font référence (curiosité intellectuelle, enrichissement personnel, capacités créatives, émancipation des individus…) sont difficiles à appréhender, en dehors d’indices permettant de supposer d’une « démocratisation culturelle », nombre d’observateurs estiment qu’il n’est guère possible d’évaluer l’impact de ces politiques.

    Ajouté au fait que l’on manque d’outils – et souvent de temps – la conséquence en est que les politiques publiques de la culture sont rarement évaluées en dehors de la mise en évidence des habituelles données chiffrées. La conséquence en est que l’on laisse ainsi le champ aux suppositions sans pouvoir vérifier le rapport d’efficacité entre investissement et impact pour les citoyens.

    Une autre raison pourrait tenir au fait que les responsables culturels sont habituellement peu au fait des enjeux de l’évaluation publique et parfois réticents à l’égard du principe consistant à « rendre compte » de leur action, au-delà de considérations de portée assez générale ; mais aussi faute d’orientations précises des tutelles concernées qui estiment nécessaire de laisser une grande marge de manœuvre aux responsables culturels pour respecter leur pratique professionnelle.

    Notre expérience nous a montré – au contraire – que cette évaluation est en grande partie possible, dès lors que :

    1. On saurait ce que l’on cherche précisément à savoir (l’objet de l’évaluation) ; en distinguant impact de la culture sur les personnes et effet de la politique sur la capacité des acteurs de terrain,
    2. On mettrait en place une méthode convenant à cette recherche précise.

    De l’objet d’évaluation va donc dépendre le type d’indicateurs auxquels on va se référer. Or, si l’on peut en théorie trouver des indicateurs correspondant à chacun de ces deux objets (action culturelle et intervention de la collectivité), il faut se dire qu’en pratique les données correspondantes sont, dans le premier cas très difficiles à obtenir (seul le sondage auprès des individus est valide), alors que, dans le deuxième cas, il est possible de les recueillir assez aisément.

    Quoi qu’il en soit, l’évaluation des politiques culturelles reste plus complexe que celles des politiques du transport ou encore de l’aide sociale pour lesquelles les indicateurs sont tangibles et identifiables, voire déjà existants.

    Une autre difficulté est que l’on ne peut évaluer une action publique qu’au regard d’un objectif préalablement et évaluable. Il est en effet des objectifs auxquels il est impossible d’associer un indicateur (il faut dire qu’en matière de culture, les objectifs sont souvent trop généraux ou trop vagues pour parvenir à choisir l’indicateur pertinent). Et nous pourrions d’ailleurs en profiter pour dire qu’entrer dans une logique d’évaluation, c’est aussi entrer dans une réflexion de fond portant sur les visées précises de ce que l’on nomme « culture », réflexion pouvant parfois réinterroger à la fois les pratiques professionnelles et l’expression politique de l’action publique.

    Résumons-nous ainsi :

    • Lorsqu’on en a la volonté, il est techniquement possible de mettre en place, au sein des services, un protocole d’évaluation. Mais cela engendrera une dynamique de changement qu’il convient de maîtriser
    • Il est indispensable de préciser l’objet de l’évaluation. Par exemple, une collectivité pourra vouloir en même temps évaluer l’impact de son action auprès des citoyens et évaluer l’impact des aides qu’il octroie à des groupes d’acteurs, deux objets s’articulant entre eux, mais restant de nature différente.
    • Pour quelle soit valide, l’évaluation doit associer, à chaque objectif, un indicateur.

    Ce trois règles, posent plusieurs questions méthodologiques et techniques que nous vous proposons d’aborder en formation.

     
     
     
     
     
     

    Reposant sur nos expériences de terrain, nos formations à l’évaluation proposent de vous familiariser avec l’évaluation des politiques culturelles

    Sont abordées les conditions particulières à respecter dans l’exercice d’évaluation et l’installation au sein de la collectivité d’une logique d’évaluation.

     
     
     
     
     

    QUELLE FORME JURIDIQUE ADOPTER POUR GÉRER LES ÉTABLISSEMENTS CULTURELS ?

    Du risque des délégations de service public dans le secteur culturel​

    Dans l’article paru sur le site de The Conversation, intitulé « Confier des lieux culturels à des acteurs privés, une fausse bonne idée ? », nous n’avons fait qu’esquisser deux difficultés posées par les délégations de service public (DSP) dans le champ culturel.

    Tout d’abord, il convient d’établir une différence de nature entre un délégataire privé à but lucratif (une entreprise) et un délégataire privé sans but lucratif (une association par exemple), ce dernier cas s’étant très souvent révélé, dans le champ culturel, davantage apte à faire coïncider l’intérêt du délégant et celui du délégataire.

    Cette distinction étant établie, il convient de rappeler que le recours à une DSP pour gérer un équipement culturel masque fréquemment l’absence ou la faiblesse d’un projet de politique culturelle dans lequel l’équipement aurait pu (ou dû) s’intégrer en tant que composante essentielle de l’action publique.

    Autrement dit, il paraît délicat d’en confier la gestion à un intervenant extérieur, avec certes la volonté d’encadrer son activité par un cahier des charges précis et contraignant. Mais dans ce cas, comment la définition des sujétions de service public peut-elle répondre au mieux à un projet culturel public devant nécessairement être défini au préalable ? Et si ce n’est pas le cas, comment s’assurer de pouvoir inscrire l’équipement ou la manifestation culturelle dans le contexte local, avec toutes ses spécificités ?

    Le choix de la DSP risque ainsi d’occasionner une perte d’efficacité de la performance publique dans le domaine culturel, éducatif et social, faute de pouvoir articuler finement les actions de cette composante culturelle avec les autres leviers de la politique publique locale.

    Dans ces circonstances, peut-on réellement penser que l’instauration d’une DSP au profit d’une entreprise légitimement préoccupée par le critère de la profitabilité puisse garantir que cette dernière va agir de façon optimale dans le sens d’un développement territorial favorable aux diverses parties prenantes ? Il suffit de constater qu’une vingtaine d’années de DSP de musées Mulhousiens à une entreprise privée n’ont pas permis à la ville de Mulhouse de s’imposer comme la destination majeure du patrimoine technique et industriel qu’elle aurait pourtant pu devenir.

    Dès lors, il est clair que le passage en DSP ne relève pas à titre principal d’une analyse juridique (alors que les collectivités font souvent appel à des juristes lorsque leur choix en faveur d’une DSP est arrêté), mais bien d’une décision de politique publique, qui doit conduire en dernier ressort au choix le plus pertinent pour l’exécution du service public de la culture, au bénéfice des citoyens.

    De même, le recours à des consultants en tourisme et loisir spécialisés dans le domaine des DSP peut ne pas présenter toutes les garanties d’indépendance et d’impartialité que l’on est en droit d’attendre d’un conseil extérieur.

    Et cela afin de s’assurer que prévaudront en toutes circonstances la primauté de la mission de l’institution culturelle et le respect des principes qui fondent l’intérêt général.

     

    Voir plus sur : https://theconversation.com/debat-confier-des-lieux-culturels-a-des-acteurs-prives-une-fausse-bonne-idee-146136

    C’est pour expliciter l’ensemble des enjeux à prendre en compte dans le choix d’un mode de gestion (culturels, économiques, managériaux, techniques et juridiques) que nous organisons, à leur demande, un séminaire d’une journée destiné aux élus et aux techniciens des collectivités territoriales.

    L’enjeu paraît important, surtout s’agissant des nouveaux élus encore peu familiers des principes qui doivent guider l’action publique dans le domaine des arts et de la culture.

    TRAVAILLER EN « MODE PROJET » AU SEIN DE L’ADMINISTRATION

    Certaines collectivités, qu’il s’agisse de Départements de Région ou encore de grands EPCI, se demandent depuis quelques années s’il serait possible de s’extraire d’une logique de travail « en silo » pour gagner en efficacité. De quelle efficacité parle-t-on alors ?

    Le monde bouge. En réalité tout bouge et les agents le savent bien. Les pratiques culturelles, les formats de la création artistique, les territoires qui se reconfigurent et agissent différemment, les acteurs de terrain dont la nature évolue, leurs actions qui s’adaptent à l’environnement social, tout cela progresse et se remodèle. C’est l’institution elle-même qui se cherche de nouvelles vocations, au grès de la recomposition du paysage institutionnel et des sensibilités politiques.

    Mais l’institution peine à se structurer aussi vite que n’évolue le contexte dans lequel elle agit. Les techniciens de la culture font face à des situations de terrain auxquels ils cherchent à répondre le plus justement possible. Des opportunités, des projets pertinents, des créations remarquables, des accidents parfois et des difficultés à palier. Les techniciens de la culture sont des agents engagés, mais souvent contraints par un organigramme ne facilitant pas l’adaptation.

    Comment offrir une réponse appropriée devant une situation inédite lorsqu’on se trouve en charge d’un segment seulement de l’action publique ? Autrement dit, comment se sentir être un bon partenaire du terrain dans un fonctionnement aussi sectorisé que celui de la culture ?  Nous parlons bien de cette manière de se répartir les compétences professionnelles en fonction des domaines de la production culturelle et non en fonction de la nature des résultats que l’on attend dans une société.

    C’est pour se départir de ce décalage parfois frappant que les services de certaines collectivités ont suggéré une autre approche, une autre manière de travailler. Il a parfois été possible d’expérimenter de nouvelles procédures, mais aussi de nouvelles postures professionnelles et même hiérarchiques. Mais qu’il est difficile souvent de faire abstraction des normes imposées par la fonction publique, quand ce n’est pas au plan politique que coince la réforme des méthodes.

    Car travailler en empruntant des chemins transversaux, c’est aller nécessairement au-delà des standards. C’est aller au contraire au-devant de solutions encore inédites. Or, sans une intégration parfaite de la pensée politique et du politique lui-même dans la démarche d’exploration, on a tôt fait de ne plus tout-à-fait parler le même langage.

    Être unanime sur le besoin de changement au sein d’une direction de la culture, se donner les moyens d’explorer ensemble des solutions de méthode, trouver les arguments pour faire accepter le changement, lever les doutes sur la faisabilité hiérarchique, trouver un objet d’expérimentation, s’assurer de l’appropriation de la démarche par le politique, trouver l’axe réglementaire pour composer avec les « dispositifs » existants voici ce qui vous attends, a minima.

    La transversalité est séduisante. Mais si vous souhaitez vous emparer collectivement d’une méthode de travail consacrant « l’objet » et non pas l’un des secteurs duquel il dépend, alors il vous faudra bâtir un édifice en commençant par bien étudier les fondations.

    Puisqu’il n’existe pas de solution toutes faite, nous proposons de vous écouter pour comprendre comment s’organise le travail au sein de votre direction de la culture pour ensuite bâtir avec vous une logique et des procédures permettant aussi de tirer profit des expériences menées par d’autres collectivités.

    À VENIR BIENTOT SUR CE SITE

    Agence politique culturelle Culture et territoire

    AUTRES THEMES DE FORMATION A DISTANCE OU D’INTERVENTION :

    • Organiser la coopération et les partenariats dans le secteur culturel
    • Construire la relation entre élu(e) à la culture, direction de la culture, responsables d’établissements
    • Associer les citoyens à la définition de la politique culturelle et aux activités des équipements culturels.
    • Penser l’articulation des politiques publiques de l’éducation, de l’urbanisme, du social et de la culture.
    • Que penser de la gratuité dans le secteur culturel ?
    • Comment définir une politique tarifaire ?
    • Décrypter les besoins de la société en matière d’enseignements artistiques pour adapter l’offre et gérer les conservatoires et les écoles de musique, de théâtre, de danse, de cirque.
    • Dynamiser son musée ; l’inscrire dans une politique du patrimoine.
    • Les enquêtes de public : comment procéder en fonction de ses moyens (même modestes) ?
    • Quel marketing pour les institutions culturelles ?
    • Comment mobiliser le bénévolat et comment travailler avec des citoyens engagés ?
    • L’aménagement culturel du territoire : quel sens lui donner ; comment procéder ?
    • Qu’est-ce qu’un équipement structurant ? Comment l’inscrire dans un projet de développer territorial ?
    • Assurer la convergence entre tourisme et culture… avec réalisme et pragmatisme.
    • Ancrage territorial des grands équipements culturels et de loisir ; tour d’horizon d’exemples frappants.
    • Développer et diversifier les publics de la culture ; par quel bout prendre le sujet ?
    • Rédiger le projet d’orientation stratégique d’un équipement culturel
    • Lever des fonds au profit des équipements culturels